Je t'aurais longtemps combattu
Dans ces nuits de rêves intenses
Où mon corps a été vendu
Sans la moindre résistance
À une amoureuse des rues
Même dans mes longues journées
Où j'aurais dû t'oublier
Tu me revenais tout armé
De tes bras et de tes baisers
Sans une once de pitié
Alors ma vie dans l'orage
Sous l'égide de ma raison
J'ai cherché à être sage
Je me suis fermé aux sons
Ainsi qu'aux accrochages
Je me suis crevé le cœur
Je l'ai laissé se vider
"Il finira bien acquéreur
D'une autre âme à aimer"
Je me disais, je me disais...
... il a suffit d'un de tes sourires
Pour venir tout remplir.
... il a suffit d'un de tes sourires
Pour venir tout remplir.
A une époque où, pour beaucoup, quelques coups de kalach permettent de conquérir les 99 vierges des paradis d'Allah, c'est vrai que le travail de fourmi, amoureux ou littéraire, au jour le jour, peut paraître dérisoire.
Il y a pourtant qualité et exigence dans tout ce que tu écris, Monsieur le Loup : ne te décourages pas !